avis Atoll DAC200 Signature Aluminium

qualité, simplicité

Produit très simple d'utilisation, essayé avec spotify, quobuz, apple, en bluetooh et branché via usb, tout est ok. La qualité sonore est au rdv. Je n'ai pas forcement décelé une grande différence sonore en Hiress, mais bon .... J' ai également essayé mon cd Rega apollo en rca directement sur l'ampli (rega elexr + heresy III) puis via le ATOL en numérique, là encore, je cherche la différence sonore... (Cablage HdG) Ce DAC me sert uniquement en bluetooh (streaming) à la maison et sur ce point, j'en suis très satisfait ! Expédition en 48h, qualité de service toujours au top !

très bon produit.je passe d'un atoll dac 100 à un 200 signature,c'est comme passer d'une petite clio à une mégane rs...

Démétalisation du numérique

La première raison d'achat de ce DAC était de retrouver la douceur et la chaleur de restitution de feu mon lecteur CD 3D-Lab, mort de vieillesse. Si son suppléant Yamaha affiche une restitution claire et détaillée du message musical, le rendu traduit la réserve japonnaise, un brin froide et cérémoniale. Rien de cela avec cette électronique française. Les voix sont souples et chaleureuses, les instruments sont fluides. Les percussions sont nettes mais sans dureté. Au rayons des plus, l'accès Bluetooth et la possibilité de raccrocher également le lecteur BR sur un ampli purement analogique.

Amélioration notable du syst

Déjà impressionné par le CD 100, en couplant ce dernier au DAC 200 mon système a fait un pas en avant. Le DAC attaque directement mon ampli de puissance Onkyo M 504 qui alimente des Spectral 908.1 dont j’ai laissé tomber le bi-câblage. Période de rodage indispensable et après c’est le …bonheur. Pourquoi 4 étoiles ? Je trouve les hautes fréquences un peu en retrait (j’ai pourtant fait un test d’audition récemment), par rapport au grave splendide et je ne retrouve pas cette véritable “image” avec l’étagement en longueur, largeur et profondeur que m’offrait mes Dynavector en vinyl. Encore une fois je ré-découvre mes CDs. Attention les bons enregistrements ravissent l’oreille mais pas de pitié pour les mauvais.