JBL ES90 Noir (la paire)

Enceintes colonne

Excellent !

Voilà bien des enceintes quatre voies qui nous tiennent éloignés de toute forme d’ennui ou (à l’inverse) d’agacement, c’est selon ! Diapason(™) leur donnent 6 étoiles et, à mon humble avis, elles sont amplement méritées... Le contexte (et aussi, les limites de l’exercice d’écoute) : Côté technique, les enceintes sont reliées en bi-câblage à un amplificateur HI-FI de la fin des années 80 (je ne me décide vraiment pas à l’envoyer au recyclage lui. Et pour cause, c’est presque un ami), à savoir un ROTEL RA-870BX acheté à l’époque où la marque était reconnue pour sa neutralité sonore. Donné pour 2 x 80 W, mais mesuré à 2 x 87 W en raison d’une alimentation d’excellente facture, cela lui permet d’assurer un service irréprochable en termes de basses fréquences. Bien mieux que le modèle 2 x 60 W apparu par ailleurs. Une source CD de la même époque, un NAKAMICHI CD-4 (au moment de l’achat, cette marque était encore synonyme de qualité et aussi de fiabilité — et en effet, l’appareil semble increvable). Au niveau électronique, nous sommes ici sur (je site en anglais dans le texte) du : « 18-bit Dual D/A Converter, 8-times Oversampling Digital Filter and Linear Phase Analog Filter ». En bref, les sons qu’il permet de reproduire sont vraiment très proches de la réalité (xylophone, piano ou caisse claire par exemple) et toujours d’une clarté et d’une limpidité exemplaire, il est peut-être un peu sec toutefois. Rien à redire, cependant, du côté de l’expressivité et de la dynamique (je n’ai donc que faire du SACD à ce stade). Il y a aussi une platine disque PRO-JECT et un dock DAC (si j’ose dire) pour iPhone/iPod (utile surtout pour recharger la bestiole), à savoir un « simple » PURE I -20 (je l’aime quand même bien celui-là aussi, malgré son côté chétif). Ensuite, la pièce où sont installées ces JBL ES90, fait 45m2 et est correctement meublée (c’est-à-dire ni trop, ni pas assez) ce qui limite grandement l’effet cathédrale (...). Il faut réellement prendre le temps de positionner ces enceintes pour obtenir les sons graves, nets et bien tenus qu’elles sont en capacité d’émettre. Une fois que c’est fait, et même s’il n’est plus interdit aujourd’hui d’être gourmand, on peut sincèrement se passer du soutien d’un caisson de basse (sauf pour du home cinema où les besoins ne sont nullement les mêmes). À l’écoute (et en ré-écoutes successives), différents styles de musique... Sur CD : du jazz (Arne Domnérus - Jazz at the Pawnshop I, II et III ; Michel Petrucciani — Both worlds, album moins centré que les précédents autour du piano et du pianiste), du classique (juste la 9e symphonie de Beethoven par Herbert von Karajan et l’orchestre philharmonique de Berlin), du divers aussi (Jamiroquaï et son album a Funk Odyssey ; Cerrone by Jamie Lewis ; du Van Halen et AC/DC un peu ; Aretha Franklin, Suzan Boyle, Chimène Badi et Eurythmics). Sur vinyle : Sting (album The Soul Cages), Pink Floyd (album A Momentary Lapse of Reason), Marillion (album Clutching at Straws), Basia (album Time and Tide). Depuis un iPhone/iPod : The Kooks et Breakbot, Buena Vista Social Club, Black Eyed Peas, etc.. Bon, pour résumer (et abstraction faite des variations propres aux différentes sources) tout ceci est tout simplement remarquable. C’est toujours clair, net et précis. Tout, absolument tout, passe admirablement bien. La musique n’est jamais agressive, elle est pourtant magistralement détaillée, même sur des mouvements complexes (ou d’autres, qui « beuglent »). La scène sonore, quelle que soit la source, est ample et aérée. On en arrive presque à chaque fois à percevoir ce que l’ingénieur du son a voulu mettre en exergue pour accompagner ou conforter le travail et l’effort de l’Artiste. C’est bluffant ! Il est même tout à fait exact que l’on se surprend aussi à redécouvrir certains passages de ses vieux albums. Du point de vue du réalisme des sonorités, aucune confusion n’est possible. Certes, on ne sera jamais assis à côté de ses enceintes, comme à côté d’un véritable piano, d’une guitare sèche ou encore d’une caisse claire, mais le ressenti, ici, est quasiment similaire et les instruments presque palpables, pour peu que l’on reste dans le champ (car l’ensemble est un peu directif tout de même). Pour les voix, c’est de la même veine. Les rideaux placés devant elles, voire, pour certaines d’entre-elles, les doubles rideaux (...) ont été lavés, défroissés, pliés, rangés et même... oubliés : Place à la lumière, la vraie ! En achetant du JBL, souvent réputé pas assez noble aux oreilles des puristes, je m’attendais à trouver, en dépit de la délicatesse anglaise de mon ampli et de l’extrême générosité dans le traitement des détails par mon ami NAKAMICHI un reliquat de gros son américain, aussi gras que mon Big Mac préféré... C’est loupé et c’est tant mieux ! Le réalisme émanant de ces enceintes me pousse aujourd’hui à envisager de placer dans cet ensemble, qui me plaît beaucoup, de la subjectivité. Du genre de celle issue des errements analogiques inhérents aux triodes d’une pré-amplification à tubes par exemple ! Faut voir... La résultante, forcément plus chaleureuse et humaine, sera peut-être plus étonnante encore pour moi qui n’aie pas connu que le numérique. Si vous avez de la place chez vous, que vous avez plaisir et aussi du temps pour écouter de manière attentive votre musique préférée, n’hésitez pas ! Ces enceintes ne déçoivent pas un seul instant. On y retrouve tous les éléments essentiels : la capacité à sonoriser sans faillir une pièce de belle dimension, l’impression d’espace et de profondeur quel que soit le genre musical, l’absence de fausse perspective et un étagement des plans admirable — y compris en hauteur, ce qui permet de bien percevoir et même ressentir l’image stéréo voire, la liberté d’expression quelle inspire, le réalisme des sons aussi et la véracité des intentions. Je n’ai pas non plus noté le moindre frein sur les transitoires, pas le moindre sentiment de privation également en termes d’intelligibilité des forte. Sans oublier les basses (Jamiroquaï et Peter Gabriel) qui descendent bas, très bas même. Enfin, pour cette gamme de prix, je ne me suis pas senti floué un seul instant… C’est même tellement bon, qu’on a le sentiment que ces enceintes coûtent 2 à 300 Euro de plus !

un vrai régal !

Lorsque j'ai décidé de changer mes vieilles enceintes, j'avoue avoir beaucoup hésité entre plusieurs marques, puis je me suis décidé pour JBL (c'était un vieux rêve), j'ai opté pour des ES90 et sincèrement je ne regrette rien, elles sont tout simplement fabuleuses ! D'abord la qualité de fabrication est irréprochable, la finition merisier est superbe. Et puis, bien sûr il y a le son, c'est simple, je ne reconnais plus mes disques, je les essaie tous les uns après les autres depuis et je découvre des sons et des instruments que je n'avais jamais entendus ! Les voix sont superbes, les aigus sont d'une précision sans faille, les médiums sont très fins et les basses d'une formidable ampleur. J'écoute beaucoup de musique rock, folk, blues mais aussi un peu de classique et tout passe merveilleusement. Par contre, pas de pitié pour les mauvais enregistrements, cela s'entend tout de suite ! En résumé, achetez-les les yeux fermés.

Très bon, mais attention à la configuration

Enceintes 4 voies et demi, d'une conception peu commune et ingénieuse. Le filtrage interne est pas mal du tout en mono-cablage, mais on gagne la la bi-amplifier. En revanche on trouve peu de documentation sur les fréquences et la structure interne des filtres mis en jeu. En effet la bi-amplification que j'ai mis en place avec mon ampli Onkyo ne permet pas de spécifier la fréquence de coupure des filtres passe-haut et passe bas, on s'en remets un peu au hasard donc mais ça dépote ! L'enceinte déscend bien dans les graves avec une belle articulation et une belle définition. A ce prix c'est exceptionnel. Par contre il faut acheter des contre-pointes en sus, car il faut absolument monter les pointes (fournies elle) pour qu'elles s'expriment au mieux. Attention également à la distance des murs, mais elle sont peu contraignantes à cet effet. Une valeur sure.

bon rapport qualité prix

couplé avec un ampli hk980 c est très bon,les bass sont vraiment percutantes un vrai régal, j ai aussi des focal 726v elles sont meilleurs dans l aigu et le medium mais dans les bass les es90 sont bien au dessus d ou ma préférence pour celle ci.

Enceintes HiFi de bonne qualité,bien présentées.Coté son, je reste un peu sur ma faim...Les basses sont nettes et suffisantes (normal avec 2 boomers de 20),mais niveau médiums et aigus,c'est un peu juste,je trouve que l'ensemble manque de présence.c'est un peu dommage...à mon avis.