La découverte de ces petites "Olympia One" m'a d'abord interpellé à cause du prix très avantageusement soldé pour une enceinte plusieurs fois primée par des magazines spécialisés. Acheté sans besoin particulier, mais simplement parce que le prix me semblait particulièrement attractif en ce début d'année, je me suis finalement lancé pour remplacer une paire d'enceintes étagères de marque américaine plutôt réputée pour son haut rendement,... Dés réception du produit, j'ai tout d'abord été bluffé, que dire époustouflé par la qualité du produit. Tout y est pour rendre heureux l'amateur audiophile exigeant que je suis. Tout d'abord, une construction et une finition haut de gamme très "à la francaise". L’électronique qui accompagnera l'ensemble sera germano-italien pour avoir un ensemble purement "Européen". Magnat CD 1050 hybride à tubes pour le lecteur et un ampli Unison Resarch UNICO de 80 W le tout associé a des câbles premium de VIARD. Comme toutes les enceintes compactes, les olympias réclament des supports de qualité. Pour le moment et en attendant que le rodage est terminés, elles sont positionnées sur des supports ELTAX (Le mariage est pas trop mal en attendant le futur) Pour le moment, elles ont 50 heures de fonctionnement et dès la première écoute,... j'ai été bluffé, que dire époustouflé par la qualité sonore du produit (en fait du mariage de l'ensemble). Les Olympias one possèdent à l'écoute cette magie que l'on ne ressent qu'avec des enceintes de tailles bien plus élevées et de gamme d'un certain niveau et j'en connais quelque chose car elles côtoient respectivement des enceintes colonnes QUAD et XAVIAN avec des amplis à tube en pure classe A. Il est étonnant de constater qu'en 2019, il est possible d'écouter de la musique, toutes les musiques, au travers d'enceintes acoustiques à peine plus haute qu'une feuille en papier de format A4 avec une telle précision. Je ne rentrerais pas dans le détail des performances acoustiques. Les tests des magazines en parlent mieux que moi, cependant je peux vous assurer que vous pouvez écouter de la musique des heures durant sans aucune fatigue auditive (et pourtant elle ne sont que partiellement rodées). Le meilleur reste à venir Les "Pour et contre" : + la construction et les finitions très à la française (j'adore), + la qualité des timbres dans tous les registres, + Aucune fatigue auditive même après de longues heures d'écoute, + la scène sonore holographique très belle, + les basses époustouflantes - utilisation obligatoire d'un bon support et d'une bonne électronique... Sinon à ce prix : c'est vraiment une bonne affaire.
N’étant pas particulièrement fan de la marque Davis Acoustics, c’est avec légère appréhension que j’ai franchi le cap pour acquérir une paire de ces petites biblios Olympia One Master, aguiché par le prix bradé lors des French Days (599 euros la paire). Au sortir du carton, les premières écoutes sont décevantes : médium creusé, aigu agressif et grave anémique. Rien de plus normal ! une enceinte non rodée ne chante jamais bien, et il faut toujours se garder d’un jugement définitif à ce stade. Ces Olympia One nécessitent en effet un assez long temps de rodage et si vous êtes pressé d’en profiter pleinement, offrez-vous donc l’excellent CD de rodage Magic-CD de JMR. Après rodage adéquat, tout se met en place, comme il se doit. Les timbres sont d’une belle véracité sans tendance au lissage dans le haut du spectre, mais ce qui stupéfie le plus c’est la qualité de l’image stéréo, c’est sur ce dernier point que les enceintes d’entrée de gamme pèchent généralement. Avec l’Olympia One on entre dans une nouvelle dimension : la salle d’enregistrement est retranscrite fidèlement en largeur comme en profondeur, l’atmosphère des lieux est très crédible, conséquence d’un filtre particulièrement bien travaillé. Sur la 1ère plage de l’album de George Michael : Last century’s songs, le chanteur est bien campé au centre de l’image, avec une stabilité inconditionnelle. En fermant les yeux on se rend compte que les enceintes ont totalement disparu pour ne laisser place qu’à la musique. La façon dont cette petite enceinte remplit mon local de 40 m2 est étonnante et pour tout dire unique, considérant qu’aucune des biblios que j’ai possédées auparavant n’y parvenaient ! La dynamique de l’enceinte se montre très réactive sans pour autant sacrifier les nuances fines, restituées avec élégance et subtilité. La résolution et la transparence sont excellentes permettant de tout entendre, par exemple dans le concerto n°24 de Mozart joué par M. Uchida sous la direction de J Tate (Philips), la flûte et le basson situés au fond de l’orchestre sont entendus avec une acuité remarquable, l’atmosphère du lieu est quasi palpable, remarquable ! Bien sûr ces petites enceintes ne peuvent prétendre descendre dans le grave autant que le font mes colonnes Elipson P4 , mais à défaut d’avoir la quantité, la qualité du grave est bien préservée, sans aucun traînage. De rendement généreux, l’enceinte Olympia One Master s’accommode d’amplificateurs peu puissants, toutefois, pour profiter pleinement de ses qualités musicales, il vaudra mieux l’associer à des électroniques de grande qualité. Un produit dont j ne vois aucun rival dans cette gamme de prix. Mon système : DAC Aiyima A5pro tweeké avec AOP1612, Ampli Aiyima A07, câbles modulation Atlas Integra, câbles enceintes Sommercable Orbit.
Depuis près de 20 ans que la Hi-Fi se vit au quotidien chez moi, ces OOM m'ont laissé une impression épatante ! Avec elles, tous les styles de musique passent. Elles sont douces, fines, éclatantes (c-à-d pas ternes ou introverties), avec un médium juste et généreux (pas comme certaines qui gonflent volontairement le registre du haut médium pour plus de présence). Et, cerise sur la gâteaux, elles donnent du grave, et quel grave pour une enceinte de ce gabarit ! Il est profond, articulé et sans trainage. Conseil en or pour l'exploiter au mieux : solides pieds bien découplés du sol, pièce de taille moyenne (20-22 m2 maximum) et 30 à 50 cm des murs arrières et latéraux. Pas besoin de câbles monstreux, vous perdriez en définition. De l'excellent, c'est tout (le mien fait 1,6mm2). Réserve toutefois sur la finition, le plaquage vinyle n'est pas tout à fait droit. Cela déborde très légèrement à certains endroits. Enfin, à ce prix, ce n'est pas très grave… Bref, si vous cherchez une enceinte bibliothèque magnifiquement équilibrée, douce et précise, facile à alimenter, à poser dans une pièce de 18-20 m2… Ne cherchez pas midi à quatorze heures. De plus, c'est du 100% made in France ! Bravo à l'équipe de Davis qui, depuis les années 10, sortent de plus en plus de pépites acoustiques.
J’ai ces enceintes depuis 14 mois. Et que dire... couplée à un amplificateur FezzAudio Silverluna et une source Dac ADI Rme avec alimentation linéaire. Le son est cristallin, aérien, tout est à ça place. Des petites boîtes à musique surprenante, on en arrive à chercher le caisson de basse. Bref un chez d’œuvre Davis. Et veuillez me croire, je n’étais absolument pas fan de la marque avant celle-ci.
Le choix a été long et désespérant. J'ai usé la patience des conseillers de SV et du magasin deThonon les Bains. Rien d'emballant, jusqu'à 900 €...jusqu'à la découverte de cette marque qui n'était pas dans ma liste. Enfin une enceinte équilibrée qui respecte chaque gamme de fréquence. Premier test pour tester ces fameux graves qui font polémique sur chaque modèle d'enceinte : l'album de Dave Brubeck "take five", moulte fois écouté. Juge de paix infaillible. On va bien voir où se trouvent la contrebasse, les drums, et le piano...un enregistrement analogique pas de prime jeunesse. Bluffé par le rendu exceptionnellement propre, net. Du grave il y en a, mais c'est propre, "dégraissé ", à sa place, sans empiettement sur les instruments voisins. Du son scandinave des seventies. Enfin des boîtes sans effet boum boum. Effet stereophonique remarquable. Branchées en bi câblage, Atlas en basses fréquences, Nordstone Skye en hautes fréquences. Reçues hier, non rodées. Aucun regret, malgré un prix conséquent bien soldé. En 2016 elles valaient tout de même 1480 €... ouch ! Finition magnifique. Et made in France. Je recommande vivement. Fini les boomers envahissants et baveux, bouffeurs de médiums. Malgré ses 13 cm
Je souhaitais des enceintes bibliothèque dans cette gamme tarifaire pour une petite installation convenable en stéréo avec un caisson de basses et un ampli . Je suis ravie du timbre, de la restitution des aigus et de leur polyvalence suivant le type de musique que j'écoute (jazz, classique, électro, pop).
Excellentes petites bibliothèques, écoutées pour la première fois au salon de la hifi à paris. Je les ai ensuite commandée sur sonvideo. Finition excellente en ébène, son détaillé et raffiné. En revanche il ne faudra pas les pousser fort dans les basses, l’event arrière montrant vite ses limites.
Je recherchais une enceinte différente de ce que j'avais, plus rapide, moins douce, je ne voulais plus d'un son "lissé" tout en gardant le kevlar que j'affectionne grandement. C'est chose faite avec cette enceinte qui n'arrondit pas les angles, ou n'enjolive le bas médium, avec des basses assez incroyable pour la taille, très tendues avec l'impression que ça descend très bas, les médiums sont très expressifs et absolument pas doux comme j'ai pu lire au dessus, ils ne sont pas du tout "lissés", même chose pour les aigus, très aériens, la scène sonore s'en trouve large et profonde. J'ai vraiment la sensation d'avoir trouvé le juste milieu entre transparence et densité, avec une homogénéité assez incroyable, le sentiment parfois d'écouter un large bande ! Autre exemple où elles m'épatent, mon père possède une paire de mordant short performance 2 et un ampli Yamaha as-1000 pourtant de gamme supérieur sur le papier, et bien à chaque fois qu'il vient chez moi sa mâchoire se décroche, son système est bien inférieur au mien c'est indéniable ! Quant au commentaire du dessus disant qu'elles sont à peine supérieure au mia 20, (excellente dans leur gamme) j'en doute grandement... Mes années de hifi m'ont démontré que l'on ne compare pas deux enceintes de gammes opposées avec la même qualité d'amplification... Sur un hegel h80 par exemple, les mia 20 montreront rapidement leur limite comparé aux olympia one master mais c'est sûr qu'avec par exemple un marantz pm-5006, la différence sera minime... J'ai aussi pu tester nombre de câbles secteur que j'avais, du moyen de gamme jusqu'au furutech tcs31 et un O2A quintessance, qui sont mes meilleurs câbles, ou bien avec un câble modulation espace musical muse 1, donc du hdg, et à chaque fois la montée en gamme s'est faite ressentir, elles y sont sensibles et me prouvent bien que ce sont des enceintes de haut niveau, bravo à Davis !
Attention, il s’agit d’une version différente du modèle de référence « merisier » primé en 2016. La finition est de type vinyle et non en véritable bois, le câblage interne est devenu basique, le filtrage est lui aussi différent, moins haut de gamme. Bref, c’est moins bon. L'enceinte est compacte, dynamique, tendue, tient bien la puissance. Bon grave/médium. Grave qui descend bas malgré la taille. Aigu sec, agressif et peu abouti. L’enceinte m’a paru déséquilibrée et peu exploitable à faible volume (on entend alors que l’aigu). Autre élément gênant, elle accentue trop les détails, et ceux-ci viennent parfois perturber la ligne mélodique principale. Cette enceinte manque d’aération et les deux voies se font distinctement entendre. En plus, celles-ci ne se marient pas de manière agréable et harmonieuse. Enceinte que je ne trouve pas très « musicale » et qui apporte peu d’émotion. Quant à l'aspect de la finition, il est assez moyen pour une enceinte à ce prix.
Elles sont extraordinaires ! Rodées au bout d'une centaine d'heures, elles donnent de superbes graves étonnantes, des médiums douces et magnifiques (frissons assurés) et des aigus présents. J'avais une paire de Mia 20. L'écart entre les deux n'est pas énorme ; si vous avez le budget préférez les Olympia One Master. Sinon, ce n'est pas grave les Mia 20 sont très bien. La différence notable est dans les graves.