Description
Points forts
L'enceinte bibliothèque Klipsch RB-81 MKII est un modèle 2 voies équipé d'un haut-parleur de 20 cm à membrane Cerametallic et d'un tweeter à dôme titane et chambre de compression monté sur pavillon Tractrix. Il s'agit d'une enceinte analytique qui brille par la largeur et la profondeur de sa scène sonore, ainsi que sa capacité à produire un grave énergique et équilibré.
Pour ce second millésime, le fabricant américain a repensé haut-parleurs, architecture et filtres. Meilleure phase acoustique, directivité mieux contrôlée, et toujours cette étonnante énergie musicale, héritée du pavillon carré Tractrix et tweeter à chambre de compression.

L'évent bass-reflex est court et assure une très bonne articulation des basses fréquences.
L'écoute est plus vivante que jamais. Évolution de la très dynamique Klipsch RB-61 MKII, la Klipsch RB-81 MKII s'en distingue par une homogénéité supérieure et un registre grave bien plus ample. Si la bande passante couverte ne varie que d'un petit Hertz, le rendement fait un bond de 2 dB, ce qui équivaut pratiquement à un doublement de l'intensité sonore.
La Klipsch RB-81 MKII réclame donc moins de courant à son amplificateur pour délivrer la même intensité musicale. Mais surtout, l'emploi d'un haut-parleur de grave/médium en Cerametallic (Ceramic Metal Matrix Driver) d'un diamètre de 20 cm modifie considérablement la restitution du bas du spectre. En effet, c'est un grave plus charpenté et physique que délivre la Klipsch RB-81 MKII. Pour autant, il s'agit d'une enceinte aux dimensions maîtrisées : le rapport taille / ampleur de la scène sonore est saisissant. La présence d'un double bornier, permettant la bi-amplification rend cette enceinte totalement polyvalente. En utilisation home-cinéma, la Klipsch RB-81 MKII devrait vous épater, tant elle sait construire une scène sonore large et profonde, avec une restitution des dialogues articulée à souhait.

Le haut-parleur Cerametallic de 20 cm, un transducteur très nerveux et démonstratif.
En Hi-Fi, elle vous surprendra par la précision dont elle fait preuve dans le registre médium, tout en étant analytique à souhait, grâce à sa sensibilité très élevée (97 dB pour 1 watt à 1 m !). A ce sujet, l'emploi d'une amplification à tube de faible puissance est parfaitement envisageable, notamment pour le haut-parleur d'aigu. La douceur de restitution est le fruit des tout derniers développements de Klipsch en matière de membranes et de filtres. Cependant, la Klipsch RB-81 MKII sait aussi se montrer rageuse et explosive à haut niveau, en écoute home-cinéma notamment. Écouter les Klipsch RB-81 MKII, c'est découvrir un univers sonore ultra-réaliste, où chaque prise de son révèle des détails insoupçonnés. Une bibliothèque aux performances d'exception.

Caractéristiques
Puissance admissible : 150 W RMS / 600 W en crête
Mesures
Sensibilité : 97 dB (2,83 V à 1 m)
Impédance nominale : 8 ohms
Fréquence de coupure : 1400 Hz
Réponse en fréquence : 44 Hz à 24 kHz (+/-3 dB)
Haut-parleurs
Aigu : haut-parleur à membrane en titane de 25 mm de diamètre et chambre de compression, monté sur pavillon Tractrix carré, avec angles de diffusion horizontal et vertical de 90° et 60 °
Grave : haut-parleur à cône Cerametallic de 203 mm
Technologie
Charge accordée par résonateur, avec évent laminaire frontal
Généralités
Bornier double
Dimensions (L x H x P) : 235 x 484 x 312 mm
Poids : 25 kg (la paire)
Notes techniques
Sur l'intérêt des pavillons en Hi-Fi
Vous l'aurez sans doute remarqué, le pavillon est la signature de Klipsch. Et ce depuis la création de la marque américaine en 1946. Mais savez-vous à quoi il sert exactement ? La principale caractéristique du pavillon, qu'il soit couplé à un haut-parleur d'aigu ou de grave, est d'en amplifier le son. Si l'intérêt semble évident en sonorisation, puisqu'il s'agit de sonoriser de vastes espaces en plein air, on peut légitimement s'interroger sur son emploi en Hi-Fi. En effet, à quoi bon utiliser une technologie capable de produire le niveau sonore d'une sirène d'ambulance dans l'environnement exigu et intime d'un salon ? Tout simplement parce que domestiqué, le pavillon apporte dans le médium et l'aigu, une présence ainsi qu'une clarté d'écoute qu'aucun haut-parleur nu ne peut offrir. Dans le cas précis du pavillon Tractrix de Klipsch, la forte amplification mécanique de la bouche du pavillon permet l'emploi d'un haut-parleur d'aigu à la membrane ultra-fine, capable donc d'oscillations infimes, soit de délivrer un son extrêmement délié. Par ailleurs, le pavillon agissant comme un porte-voix, il permet aux fréquences aiguës d'être perçues sans problème à une dizaine de mètres des enceintes, sans guère d'atténuation. C'est là une performance dont sont incapables des enceintes traditionnelles, dont le haut-parleur d'aigu peine à délivrer son message au-delà de 3 mètres. Enfin, l'emploi d'un pavillon permet au haut-parleur d'aigu de descendre plus bas dans les fréquences médium, avec des transitoires très supérieures à celles d'un haut-parleur à large membrane. Vous le voyez, les avantages sont très nombreux ! Pour autant, deux grosses contraintes sont à souligner. Tout d'abord le haut-parleur de grave doit être de haute qualité (transitoires rapides) pour que l'écoute n'apparaisse pas déséquilibrée. C'est particulièrement le cas chez Klipsch, qui avec ses modèles Cerametallic utilise des haut-parleurs nerveux. Enfin, l'électronique associée doit être de qualité, idéalement douce et linéaire. Dans ces conditions, l'écoute peut être grandiose.
La technologie Tractrix
Exclusivité Klipsch, les pavillons Tractrix ont toujours été les composants essentiels de cette gamme au succès mérité. Avec l'enceinte RB-61 MKII, cette technologie a été améliorée, avec une géométrie de gorge optimisée afin d'offrir un réalisme sonore accru. Derrière le pavillon se trouve un haut-parleur d'aigus en titane de 25 mm, avec un puissant moteur au néodyme offrant une combinaison unique de précision, de clarté et de dynamique sans contrainte. L'augmentation des nervures d'écran acoustique, autour de la bouche du pavillon, améliore considérablement l'acoustique dans tout le spectre audible. Pour assurer la pureté du signal et une parfaite intégration avec le haut-parleur, le filtre passif de l'enceinte RB-61 MKII utilise les meilleurs composants et le câblage interne sur mesure de Klipsch.
La technologie Cerametallic
La technologie Cerametallic employée dans la production des membranes des haut-parleurs de grave de la gamme Klipsch, offre une rigidité supérieure aux technologies traditionnelles. Le principal bénéfice est une déformation moindre de la membrane, et en conséquence un signal sonore moins distordu. La gamme 2010 reçoit en outre de nouvelles suspensions, pour une précision accrue du déplacement de la membrane des haut-parleurs de grave-médium.
Avis
Pour des compactes, ces grands bébés entrent plus aisément dans la catégorie « bibliothèque » que dans la bibliothèque elle-même, sauf si elle est du genre à accueillir des encyclopédies en vingt volumes. Néanmoins, mais avec de bons bras, j’ai pu les installer en hauteur, inclinées vers l’auditeur, sur de solides supports B-Tech BT-77. Les tweeters à pavillon pouvaient laisser présager davantage d’affinité pour Chet Baker, le colonel Hati et Mariah Carey que pour Ivan Rebroff, Georges Chelon ou les Tambours du Bronx ; mais les inquiets peuvent avoir leurs apaisements : tout passe bien sans agresser les tympans jusqu’à un niveau d’écoute très confortable (je n’ai toutefois pas essayé Mariah Carey). Généreuses question rendement, les RB-81Mk2 sont à même de produire assez de bruit pour se fâcher avec les voisins et s’assurer personnellement une surdité précoce. À moins donc de vouloir se dire que la dernière chose au Monde qu’il nous ait été donné d’entendre était une paire de Klipsch, mieux vaut s’assurer, avant d’effleurer la touche « play », qu’une petite main innocente ou le chiffon de la ménagère n’a pas poussé le bouton de volume de l’ampli dans la zone dangereuse. Si les RB-81Mk2 ont la vigueur de petites enceintes de sonorisation (j’en ai longtemps utilisé), elles ne snobent pas les détails à volume réduit et sont moins directionnelles qu’un équipement de sono conçu avant tout pour jouer fort en évitant les accrochages avec les microphones. Il n’est donc pas requis d’avoir été biberonné dans une discothèque pour apprécier ces compactes parfaitement à même de gazouiller et murmurer à bon escient (comme disent les Arméniens). Vous pouvez par exemple leur confier sans crainte le fond sonore de votre séance de relaxation, un disque « unplugged » de Françoise Hardy ou une interview de Serge Gainsbourg. Cela dit, les limiter à une écoute confidentielle serait faire injure à leur aptitude à restituer la musique à un niveau réaliste. Et en matière de réalisme, précisons qu’atteindre le décaBel n’est pas l’apanage de la musique amplifiée : un quatuor à cordes fait aussi bien l’affaire (ou votre gamin s’il se met à la trompette ou à la batterie). L’alimentation de mes RB-81Mk2 par un Technics SU7300, généreux dans le grave, me faisait redouter une tendance « boomy » ; mais cette appréhension a été balayée d’un coup d’auvent. Au grand soulagement de ma chef comptable, les Klipsch s’accommodent très bien de mon vieil ampli. Mieux : elles paraissent lui procurer une nouvelle jeunesse ; prouvant, s’il en était encore besoin, que les enceintes acoustiques jouent un rôle majeur dans la sonorité d’un ensemble stéréo. Je pourrais resservir quelques clichés à propos de leur manière de restituer le grave, l’aigu et tout ce qui navigue entre ; puis ajouter qu’elles ne pardonnent rien aux enregistrements médiocres ; mais mon avis est que de bonnes enceintes ne peuvent pas rendre plus mauvais ce qui l’est déjà. Ce sont plutôt les sources de qualité qui sont magnifiées et qui, par contraste, rendent insupportable l’écoute de l’à-peu-près. Je me contenterai donc de souligner le dynamisme de ces HP, tout en m’abstenant d’en commenter la justesse des timbres, poste difficile à aborder quand on manque d’expertise et de points de comparaison. J’ai toutefois noté qu’à fort (mais vraiment fort) niveau, le ton nage en eaux plus tumultueuses, mais sans pouvoir décider qui des enceintes, de l’ampli ou du local d’écoute est le coupable à lyncher ; à moins qu’il ne s’agisse de mes oreilles, auquel cas l’abandon des poursuites pénales s’impose d’emblée. En revanche, j’ai trouvé amusant de m’installer dehors, porte grande ouverte, pendant que jouait à fort volume un disque de jazz (petite formation). J’avais l’impression d’être à la terrasse d’un café-concert quand l’orchestre joue à l’intérieur. Globalement, je dirais donc que les assidus aux salles de spectacle devraient davantage apprécier ces enceintes que les pantouflards attachés à l’ambiance feutrée de leur salon ; mais ce ne sont là que supputations. L’idéal est bien sûr de pouvoir écouter et comparer avant d’acheter ; mais ce n’est pas toujours possible et, sans les indications des conseillers de Son-Vidéo (qu’ils en soient remerciés !), je n’aurais probablement pas « osé » les Klipsch. À 400 euros la paire, je pense avoir fait une bonne affaire, tandis que les 950 euros affichés comme prix de départ ont aidé à convaincre ma femme que je n’en avais pas réalisé une mauvaise. Tout bien pesé, ce prix de lancement me semble quand même exagéré ! Les coffrets paraissent solides, mais leur revêtement synthétique et leur grille frontale en plastique quadrillé recouvert de tissu noir n’ont rien de luxueux ! Avec ou sans cache, l’élégance leur fait défaut. J’ai donc laissé les cadres en place, ça n’enchante pas nécessairement le prolétariat mais c’est plus sobre et les HP sont mieux protégés. En guise de conclusion et en même temps que les 5 étoiles attribuées au rapport qualité/prix, je dirai donc, à la manière bruxelloise, que ce ne sont pas nécessairement les oiseaux qui ont les plus belles plumes qui chantent le mieux.
Voilà maintenant 7 ans que j'ai acquis mes RB-81 (MK1 à l'époque), associées à un ampli NAD-325BEE et des câbles Norstone en 4mm2. Bluffé par leur qualité générale je suis encore aujourd'hui déçu à l'écoute d'un morceau sur d'autres enceintes. Choisissez un ampli qui a une bonne réponse impulsionnelle, des câbles digne de ce nom pour faire passer tout ça et régalez vous. Attention cependant à la qualité d'encodage des piste d'écoute. La numérisation n'a pas que du bon, il faut privilégier des morceaux en AAC voir en FLAC. Une fois rodées (une cinquantaine d'heures minimum à un volume raisonnable), les basses se creusent et deviennent puissantes et très propres. Le pavillon est impressionnant, surtout pour les cuivres et les riff de guitare, quoique très présent ; le live est vécu comme si on y était. On aime ou on déteste. Le tout est cependant bien équilibré et s'exprime pleinement. Vous qui aimez et vivez la musique pleine, riche, et reproduite fidèlement, ne cherchez plus. Ces RB-81 sont faites pour vous.
je viens de les débaler et la premiere surprise c'est la taille de ces monstres!mes petites rb-51 font chiches à coté.suite au branchement de celles ci en enceintes surround; la claque!!! précision,dynamisme,spatialité,le son à l'etat pur! j'ai des colonnes b et w;j'ai l'impression que je les ai débranchées!les klipsch englobent toue la piece par leur exceptionnel qualité sonnore!! il n'y a plus rien à ajouter à part que si vous n'avez pas des klipsch rb-81;et bien vous n'avez pas des klipsch rb-81!!alors foncez!!!
Bonjour à tous. Au départ, je voulais absolument des enceintes colonnes pour remplacer mes monitoring Behringer Truth B3031 Actif, et finalement j’ai choisi les Klipsch RB81 mkII suite aux recommandations d’un ami audiophile et connaisseur (que je remercie au passage) pour coupler avec mon ampli Denon AVR2807. Au déballage, les RB81 sont volumineux pour des enceintes bibliothèque avec un poids conséquent, la finitions est de très haut niveau et sobre à la fois. Une fois branchées en bi-câblage avec des câbles de forte section (2x4mm), l’amplificateur paramétré en mode ‘’PURE DIRECT’’ afin d’écourter au maximum le chemin du signal, les premières notes jouées par les Klipschs sont claires, à la fois douces et dynamique et détaillées. La séparation des fréquences est très nette. Des aigues cristallins, des basses rondes et présentes et des médiums chaleureux. Grâce au 97db de sensibilité, nul besoin de pousser fort, le son envahi efficacement l’espace d’écoute de 30m2. Même en période de rodage, à volume très modéré, ses enceintes dégagent une présence incomparable. Je suis ravi de ma première expérience audio avec Klipsch et je tiens à remercier Son Vidéo pour la qualité du service avant-vente ainsi que la rapidité de livraison, qui encore une fois à été à la hauteur de mes attentes. Matériels utilisés : Source : média-center équipé d'une carte son E.S.I prodigy – Convertisseur N.A / Égaliseur BEHRINGER Ultra curve Pro, Pré-ampli à tube Little Dot MKII, interface à tube Yaqin CD3, Denon AVR2807 (section ampli de puissance), enceintes Klipsch RB81 MKII.
J'ai acheté ces enceintes tout d'abord attiré par le prix, l'idée de me faire une telle réduction vis-à-vis de son prix d'origine, j'ai demandé conseil à l'équipe de son-vidéo, très disponible, patiente et explication et je ne saurais que vous recommander de les contacter pour vous aider dans vos choix. De cette envie de faire une économie, une affaire, j'en ai oublié le prix : j'aime ces enceintes. Elles n'ont pas l'air aussi luxueuses que les dernières versions de klipsch visuellement mais qu'est-ce qu'elles ont agréables à écouter!!! Les aigus peuvent aller très très haut, les mediums sont agréables et les voix très intelligibles, les graves sont leur points forts : très bien reproduits et sont très impressionnants. Elles sont belles, le bas du cache pour enceintes jure un peu avec le reste, mais le plus important est leur sonorité : elles sont extrêmement fidèle, très agile, elles peuvent être très douce tout comme très agressives. C'est un réel plaisir quand elles marchent bien mais demande un petit travail de choix des autres produits que vous mettrez avec si vous voulez vraiment en profiter : elles sont très fidèles comme je l'ai dit et ont besoin d'une source sans parasites (câblage rca/xlr de qualité, câblage haut-parleurs, respect des phases lors du branchements des appareils, etc). Elles rendent très bien les trémolos dans les voix des chanteurs, elles acceptent les morceaux subtiles sans se laisser dépasser, elles rayonnent vraiment en présence d'un son coloré. Pour le prix proposé, c'est plus qu'une affaire et je pense que j'aurais économisé des mois pour les prendre plein pots si je savais qu'elles étaient si bien. Elles mettent un temps fou à se roder par contre. C'est le plus gros problème : avoir la patience et ne pas se dire qu'on s'est fait avoir : je me suis dit la même chose un grand nombre de fois au début et finalement, c'est un festival musical qu'elles dévoilent. Ah, et ne rêvez pas : vous ne pourrez JAMAIS les écouter à pleine puissance, sur un ampli 4x45w avec un DAC, il est impossible de rester dans la même pièce à la moitié de la puissance, même si celle-ci est grande.
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