Certaines marques deviennent plus grandes que l’entreprise qui les porte. PlayStation en fait partie : son nom résonne aujourd’hui plus fort encore que celui de Sony. En trois décennies, la console de Sony a redéfini ce que signifie « jouer ». On ne dit plus « je joue à la console », on dit « je joue à la PlayStation ». Cette simple phrase résume un phénomène culturel et industriel sans équivalent, né d’une alliance manquée, nourri par une vengeance créative et devenu le pilier du divertissement vidéoludique mondial.
Tout commence à la fin des années 1980, quand Nintendo, alors roi incontesté du jeu vidéo, travaille avec Sony sur une puce audio pour sa Super Nintendo. À la tête du projet, un ingénieur ambitieux nommé Ken Kutaragi. Il croit déjà à une chose : le jeu vidéo ne sera plus un simple jouet, mais un véritable média numérique. Cette conviction, combinée à sa ténacité, va bientôt bouleverser toute une industrie.
Nintendo veut alors moderniser la Super Nintendo en lui ajoutant un lecteur de CD-ROM. Sony, qui maîtrise la technologie du disque optique, accepte de développer ce module. Les deux entreprises signent un accord : la console, appelée « Play Station » (avec un espace), pourrait lire à la fois des cartouches SNES et des jeux sur CD. Mais ce contrat, très favorable à Sony, inquiète Nintendo : il prévoit que tous les jeux sur CD utilisent un format contrôlé par Sony, lui garantissant des redevances sur chaque titre vendu. Nintendo comprend alors qu’il perdrait la maîtrise de ses jeux et de ses licences, ce qui est inacceptable pour l’entreprise.
Au CES de 1991, Sony monte sur scène pour annoncer officiellement le développement d’un prototype « Play Station », en partenariat avec Nintendo. Le lendemain, à la stupeur générale, Nintendo annonce... une collaboration avec Philips. Une trahison publique, une humiliation mémorable. Sony, ridiculisé, voit son projet s’effondrer. Mais cette blessure va devenir un moteur. Norio Ohga, président de Sony, refuse que son entreprise reste dans l’ombre de Nintendo. Sous l’impulsion de Kutaragi, il décide de transformer l’humiliation en revanche : Sony va créer sa propre console.
Kutaragi convainc les dirigeants de Sony que leur entreprise doit se battre seule, sans partenaires encombrants. En 1992, la décision est prise : Sony développera sa propre machine 32 bits, axée sur la 3D, et surtout, sur le CD-ROM. C’est le début d’une aventure industrielle qui va marquer l’histoire. En décembre 1994, la PlayStation sort au Japon. L’ère Sony commence.
Lorsque la première PlayStation arrive sur le marché en 1994, elle n’est pas seulement une console : c’est un manifeste. En face, Nintendo misent encore sur les cartouches, tandis que Sega joue la carte de l’entre-deux avec la Saturn, capable d’accueillir à la fois des CD-ROM et des cartouches d’extension, un choix technique peu lisible qui brouille son positionnement. Sony, de son côté, fait un pari clair et assumé : le CD, moins coûteux, plus rapide à produire et surtout capable de stocker davantage de données. Cette décision attire les développeurs tiers, lassés des limitations imposées par Nintendo et de la complexité des solutions concurrentes. Les studios affluent : Namco, Square, Konami, Capcom… Tous veulent créer sur la nouvelle console.
Le succès est immédiat. Les jeux Ridge Racer, Tekken, Gran Turismo, Final Fantasy VII ou Metal Gear Solid propulsent la PlayStation au rang d’icône. La manette à symboles géométriques (triangle, carré, rond et croix) devient un langage universel. En quatre ans, Sony s’impose face à des géants installés depuis une décennie. En 2000, la PS1 dépasse les 100 millions d’unités vendues. Jamais une première console n’avait atteint un tel sommet. L’industrie vient de changer d’équilibre : le jeu vidéo est désormais une affaire sérieuse, et Sony en est le nouveau maître.
La première PlayStation n’a pas seulement dominé son époque, elle a su se réinventer. En 2000, Sony lance la PS One, une version plus compacte, plus arrondie et étonnamment moderne pour l’époque. Cette console miniature, pensée pour accompagner l’avènement de la PS2, prolonge la vie de la PlayStation bien au-delà de sa génération d’origine. Avec son écran LCD optionnel, elle devient presque nomade, transformant la console de salon en objet personnel. Plus qu’un redesign, la PS One symbolise l’idée que PlayStation ne vieillit pas : elle évolue.
En 2000, Sony lance la PlayStation 2, une machine qui ne se contente pas de succéder à la première : elle l’enterre. Capable de lire les DVD, rétrocompatible avec les jeux PS1, elle devient rapidement un objet culturel. Ce n’est plus seulement une console, c’est un lecteur multimédia abordable, à une époque où les lecteurs DVD coûtent à peine moins chers.
Les jeux comme Grand Theft Auto III, Final Fantasy X, Shadow of the Colossus, God of War ou Metal Gear Solid 2 façonnent une génération. La PS2 devient le centre du salon, le symbole d’une jeunesse connectée à une nouvelle forme de divertissement. Avec plus de 155 millions d’unités vendues, elle reste à ce jour la console la plus vendue de l’histoire. Ainsi, Sony a transformé une revanche en empire.
La PlayStation 2 bat déjà des records lorsqu’en 2004 apparaît la PS2 Slim. Plus fine, silencieuse et élégante, elle se glisse partout, comme si Sony avait décidé de faire disparaître la console dans le mobilier. Dotée d’un bloc d’alimentation externe et d’un modem intégré, cette version devient le standard universel de la machine. Dans de nombreux foyers, c’est elle que l’on imagine spontanément en pensant à la PS2. La Slim n’est pas qu’une déclinaison : c’est la mue définitive d’une légende.
La PSX est l’une des créations les plus méconnues, mais les plus visionnaires de Sony. Lancée exclusivement au Japon en 2003, elle n’est pas une simple console, mais un appareil hybride qui fusionne une PlayStation 2, un enregistreur numérique et un lecteur multimédia complet. Avec son design élégant issu des divisions électroniques de Sony, la PSX permet de jouer, graver, enregistrer la télévision, monter des vidéos et stocker des contenus comme si le salon devenait un studio personnel. Elle était trop en avance sur son temps, trop chère, trop déroutante pour le grand public, mais elle a prophétisé ce que Sony rêvait déjà : une PlayStation qui ne serait pas qu’un outil de jeu, mais le cœur numérique de la maison. La PSX n’a pas marqué les chiffres, mais elle a marqué les idées.
En 2004, Sony décide d’emmener la marque au-delà du salon avec la PlayStation Portable, ou PSP. Son ambition : offrir la puissance d’une PS2 dans un format portable. L’écran 4,3” (10 cm) époustoufle par sa qualité, et les jeux comme Crisis Core: Final Fantasy VII, God of War: Chains of Olympus ou Daxter prouvent qu’une console portable peut rivaliser avec les grandes.
Mais la PSP n’est pas qu’une machine de jeu : c’est aussi un lecteur multimédia, capable de lire films, musiques et photos sur des disques UMD. Bien qu’elle souffre du piratage et d’un positionnement parfois flou, la PSP séduit plus de 80 millions de joueurs et pose les bases d’un écosystème mobile que Sony n’abandonnera jamais complètement.
La PlayStation Portable connaît, elle aussi, sa transformation. Après le modèle original, Sony introduit la PSP Slim & Lite, plus légère et plus économe en énergie, rapidement adoptée par les joueurs. Puis vient la PSP Go, radicale : elle abandonne les disques UMD au profit du tout dématérialisé, préfigurant le futur de l’industrie. Enfin, la PSP Street, modèle économique réservé à l’Europe, achève la gamme.
En 2006, Sony lance la PlayStation 3, une console ambitieuse, presque arrogante. Avec son processeur Cell, son lecteur Blu-ray et son prix élevé, elle ambitionne de devenir le centre névralgique des loisirs médiatiques du domicile. Mais le lancement est chaotique : la concurrence de la Xbox 360 et de la Wii, plus accessibles, fait mal. Sony perd du terrain, et la PS3 devient le symbole d’un excès de confiance.
Pourtant, la marque se relève. Grâce à des exclusivités d’exception comme Uncharted, The Last of Us, LittleBigPlanet ou Demon’s Souls, la PS3 finit par redorer le blason de Sony. Des versions allégées de la rétrocompatibilité PS2 et moins coûteuses permettent de faire une percée sur le marché. L’arrivée du PlayStation Network marque un tournant : les joueurs se connectent, échangent, téléchargent et découvrent le jeu en ligne. Lentement, mais sûrement, la PS3 se remet à flot, jusqu’à franchir les 87 millions de ventes en fin de vie.
Sony apprivoise ensuite la machine avec deux déclinaisons majeures : la PS3 Slim en 2009, plus silencieuse et moins énergivore, puis la PS3 Super Slim en 2012, encore plus fine, dotée d’un nouveau système coulissant pour les disques. Là où le premier modèle semblait imposer sa présence, ces versions allégées rendent la PS3 plus accessible. Toutefois, afin de réduire les coûts, ces nouveaux modèles perdent la puce Emotion Engine de la PS2, réduisant la rétrocompatibilité à la PS1.
En 2011, Sony revient sur le terrain portable avec la PlayStation Vita. Belle, puissante, dotée d’un écran OLED somptueux et d’un pavé tactile arrière, elle a tout pour séduire. Mais le contexte a changé : les smartphones grignotent le temps de jeu, et Nintendo, avec la 3DS, occupe déjà l’espace. Malgré des titres comme Persona 4 Golden ou Uncharted: Golden Abyss, la Vita peine à convaincre le grand public.
Pourtant, elle reste une console adorée des joueurs exigeants. Son catalogue indé, son design soigné et sa compatibilité avec la PS4 en font un bijou sous-estimé. Sony mettra fin à sa production en 2019, laissant la PS Vita dans l’histoire comme un chef-d’œuvre maudit, une vision trop en avance sur son temps.
La PlayStation Vita n’échappe pas à la tradition. Sony propose rapidement la PS Vita Slim, plus légère, plus fine, avec une autonomie améliorée. Si elle remplace l’écran OLED par un LCD, un choix discuté par les puristes, cette version rend la Vita plus agréable au quotidien. Ce modèle affiné illustre la vision de Sony : même dans un marché hostile, la marque peaufine ses créations comme des objets premium. La Vita n’aura peut-être pas trouvé son public, mais elle n’a jamais cessé d’être intelligemment pensée.
Après les leçons de la PS3, Sony revient en 2013 avec une philosophie claire : remettre le joueur au centre. La PlayStation 4 incarne ce retour aux fondamentaux. Simple à développer, puissante, pensée pour le partage et le streaming, elle s’impose très vite. Le slogan « For the Players » n’est pas une promesse marketing, c’est un credo.
Des chefs-d’œuvre comme Bloodborne, Horizon Zero Dawn, God of War, The Last of Us Part II ou Ghost of Tsushima transforment la PS4 en icône culturelle. Elle s’ouvre aussi au jeu en ligne et aux abonnements, tout en intégrant des outils de création et de diffusion de contenu. À la fin de son cycle, avec plus de 117 millions d’unités vendues, la PS4 a réconcilié Sony avec son public et scellé la maturité du jeu vidéo moderne.
Avec la PlayStation 4, les déclinaisons deviennent une stratégie. La PS4 Slim, en 2016, réduit la taille et la consommation électrique, s’adaptant aux salons modernes. Mais c’est la PS4 Pro qui marque un tournant : première console PlayStation pensée pour la 4K, avec des performances accrues, elle introduit une montée en gamme que Sony n’avait jamais osé tenter auparavant. Deux versions, deux philosophies : l’une allégée, l’autre dopée. PlayStation se décline désormais en choix, pas seulement en esthétique.
Lancée en 2013 au Japon sous le nom de PS Vita TV, puis rebaptisée PlayStation TV en Occident, cette machine est une proposition déroutante. À première vue, elle ne ressemble à aucune console PlayStation. Pas de lecteur de disque, pas de manette dédiée, pas d’écran. Juste un petit boîtier blanc et discret, plus proche d’un adaptateur multimédia que d’une console traditionnelle. Pourtant, Sony y glisse une ambition singulière : porter l’écosystème PlayStation partout où se trouve un téléviseur. La PlayStation TV permet de jouer aux titres PS Vita compatibles, aux jeux PS One, d’accéder au PSN et même de streamer sa PS4 via le Remote Play. C’est une PlayStation sans scène, sans cérémonie, une porte dérobée vers l’univers Sony.
La PlayStation TV n’a pas connu les déclinaisons spectaculaires des consoles de salon, mais elle a elle-même été une évolution. Sa première forme, la Vita TV japonaise, arrive comme une extension expérimentale de la PS Vita. Ce n’est qu’en franchissant les frontières qu’elle change d’identité, adopte le nom PlayStation TV et s’aligne sur l’image d’une console miniature, prête à rejoindre le salon mondial. Deux noms, une idée : dissocier PlayStation de l’objet pour l’arrimer à l’écran. Sa trajectoire reste discrète, presque invisible, mais elle s’inscrit dans la logique de Sony. Là où d’autres consoles deviennent plus fines, plus puissantes, la PlayStation TV devient plus abstraite. Elle n’impose pas une nouvelle génération, elle prépare un futur où PlayStation n’est plus un boîtier, mais un accès.
Lancée en 2020, la PlayStation 5 symbolise la transition vers une expérience sensorielle totale. Son design audacieux, son SSD ultrarapide et sa manette DualSense ouvrent une nouvelle ère : celle du ressenti. Chaque vibration, chaque pression devient un message. Les joueurs découvrent un lien plus intime avec les mondes qu’ils explorent.
Voir la PlayStation 5 Slim Édition Standard
Malgré les ruptures de stock et les crises de production, la PS5 dépasse rapidement les 60 millions d’unités vendues. Des titres comme Demon’s Souls Remake, Ratchet & Clank: Rift Apart, Spider-Man 2 ou Final Fantasy VII Rebirth démontrent, encore une fois, la maîtrise de Sony. La console incarne une nouvelle philosophie : plus qu’un appareil, PlayStation est devenu un écosystème, une marque d’émotion, un symbole générationnel.
Voir la PlayStation 5 Slim Édition Digitale
La PS5 n’a pas tardé à connaître sa propre évolution. En 2023, Sony introduit la PS5 Slim, plus compacte, dotée d’un lecteur Blu-ray amovible, symbole d’une console pensée pour s’adapter aux usages plutôt que d’imposer un format unique. Puis vient la PS5 Pro, qui marque un tournant majeur : conçue pour offrir des performances supérieures en ray tracing, en 4K et en fluidité, elle réduit les compromis techniques inhérents au modèle d’origine. Là où la PS5 posait les fondations d’une nouvelle génération sensorielle, la PS5 Pro affine l’expérience et consolide l’idée que la puissance n’est plus un objectif, mais une trajectoire. Avec elle, Sony transforme l’évolution matérielle en continuité naturelle, faisant de PlayStation une plateforme qui s’ajuste aux attentes sans jamais ralentir son ambition.
| Console | CPU/GPU | Mémoire système | Puissance de calcul |
| PlayStation | R3000A 32-bit RISC @ ~33,7 MHz | 2 Mo EDO DRAM + ~1 Mo VRAM (framebuffer) | N/A |
| PlayStation 2 | MIPS "Emotion Engine" @ ~294,9 MHz | 32 Mo RDRAM + 4 Mo VRAM | Environ 6,2 GFLOPS (estimation) |
| PlayStation 3 | Cell Broadband Engine @ 3,2 GHz | 256 Mo XDRAM + 256 Mo VRAM | Environ 0,25 à 0,9 TFLOPS (estimation) |
| PlayStation 4 | CPU 8 cœurs AMD "Jaguar" @ ~1,6 GHz | 8 Go GDDR5 | 1,84 TFLOPS |
| PlayStation 4 Pro | CPU 8 cœurs "Enhanced Jaguar" @ ~2,1 GHz | 8 Go GDDR5 | 4,20 TFLOPS |
| PlayStation 5 | CPU 8 cœurs AMD Zen 2 @ ~3,5 GHz | 16 Go GDDR6 | 10,28 TFLOPS |
| PlayStation 5 Pro | CPU 8 cœurs AMD Zen 2 @ ~3,85 GHz | 16 Go GDDR6 | 16,7 TFLOPS |
En un peu plus de trente ans, PlayStation a dépassé son statut de machine pour devenir un phénomène culturel total. Elle a accompagné des premiers pas numériques, des nuits blanches, des frissons, des victoires et des défaites qui ont autant marqué les joueurs que les films ou la musique. Ses consoles ont évolué, ses technologies ont changé, mais l’essentiel est resté : une promesse d’immersion, d’évasion et d’émotion. Aujourd’hui, PlayStation n’est plus simplement une marque. C’est une langue universelle, un héritage partagé, un mythe contemporain. On ne joue plus « à la console ». On joue à la PlayStation.
Première console de Sony, elle a marqué l’arrivée de la 3D dans les foyers et bouleversé l’industrie du jeu vidéo. Avec son catalogue emblématique, elle a imposé la marque PlayStation comme une référence mondiale.
Version plus petite et redessinée de la PlayStation, elle s’adresse aux joueurs souhaitant un format compact. Son design plus moderne lui permet de prolonger la vie de cette première génération.
Console la plus vendue de l’histoire, elle a dominé l’ère du DVD et étendu l’univers PlayStation au grand public. Son immense ludothèque a façonné une génération de joueurs.
Réduction significative de la PlayStation 2, elle devient plus discrète et facile à installer. Elle permet à la console de continuer son succès commercial durant de longues années.
Première console portable de Sony, elle propose une expérience console de salon au creux de la main. Son écran large et ses jeux ambitieux séduisent les joueurs en déplacement. Cette machine introduit également le format optique UMD.
Console tournée vers le multimédia, elle introduit le Blu-ray dans les foyers tout en misant sur la haute définition. Elle inaugure aussi les services en ligne et une évolution marquante du jeu multijoueur.
Version plus fine et moins gourmande en énergie, elle relance l’intérêt autour de la PS3. Elle rend la console plus accessible tout en préservant ses capacités multimédias.
Console portable orientée vers le tout dématérialisé, elle abandonne les disques UMD au profit d’un stockage interne. Elle anticipe une nouvelle manière de consommer les jeux vidéo.
Version entrée de gamme destinée à démocratiser la PSP auprès d’un public plus large. Elle propose une expérience simplifiée à un coût réduit.
Console portable premium dotée d’un écran OLED, elle vise une immersion visuelle inédite. Elle cherche à rapprocher encore plus l’expérience portable de celle des consoles de salon.
Nouvelle itération plus légère et encore plus compacte de la PS3. Elle prolonge la vie de la console sur un marché désormais tourné vers la génération suivante.
Pensée pour les joueurs avant tout, elle place la puissance, la simplicité d’utilisation et le partage au centre de son expérience. Elle marque le retour d’une PlayStation orientée gaming pur.
Version allégée de la PS Vita, elle propose une meilleure autonomie et un format encore plus portable. Elle cherche à séduire les joueurs nomades tout en conservant l’essence du modèle original.
Révision esthétique qui réduit la taille et la consommation d’énergie de la PS4. Elle permet d’élargir l’accès à la console tout en conservant ses performances.
Modèle plus puissant pensé pour la 4K et les écrans ultra haute définition. Elle répond à la demande croissante d’images plus détaillées et de performances améliorées.
La nouvelle génération mise sur la rapidité grâce à son SSD et à des graphismes spectaculaires. La version digitale répond à l’évolution des usages sans support physique, tandis que la version standard conserve un lecteur de Blu-ray.
Versions affinées de la PS5, elles reprennent les mêmes performances dans un format plus compact. Elles modernisent l’offre et facilitent l’intégration dans les salons.
Console orientée vers des performances supérieures et une meilleure fluidité dans les jeux exigeants. Elle vise à prolonger l’attrait de la génération PS5, en répondant aux attentes des joueurs les plus passionnés.
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